Les dégâts d’eau majeurs sont une des plus grandes sources de stress pour les gestionnaires de pacs immobiliers. Trouver la source de la fuite et la colmater, aspirer l’eau visible, sécuriser les lieux, relocaliser temporairement les occupants et procéder à la restauration sont toutes des étapes, souvent très compliquées pour la majorité, puisqu’elles ne font pas partie des tâches quotidiennes du gestionnaire responsable.
Toutefois, il faut agir rapidement et être bien préparé à s’y attaquer afin que le dégât ne se transforme pas en chantier de démolition, ce qui n’est pas toujours évident, sachant que chaque dégât d’eau est unique et que les facteurs entourant le dommage ne sont pas souvent les mêmes et parfois, difficiles à cerner.
Depuis très longtemps, la restauration suite à un dégât d’eau consiste à récupérer l’eau visible et ventiler sur les surfaces mouillées afin de dégager l’humidité emprisonnée dans les matériaux. Toutefois, les gestionnaires ont souvent remarqué la présence de moisissures sur les structures traitées avec cette méthode. Ceci s’explique par le phénomène d’eau liée qui s’intègre aux structures moléculaires et intercellulaires du matériau et dont la ventilation de surface n’a pas pu la transformer à la forme gazeuse et l’évacuer de ce dernier.
Depuis ce temps, la confiance à l’assèchement a beaucoup diminué ce qui a poussé les restaurateurs à changer leur stratégie: s’attaquer aux structures plutôt qu’à l’humidité! Ceci a obligé les gestionnaires à remplacer à neuf les matériaux humides dont la ventilation de surface n’a pas pu complètement assécher. Or, ce changement n’a fait qu’alourdir la gestion des administrateurs, augmenter les coûts de restauration et rallonger le délai nécessaire au retour à la normale.
Malheureusement, ce domaine n’a pas autant évolué, mais il existe aujourd’hui une nouvelle technique d’assèchement qui a redonné l’espoir aux gestionnaires d’éviter tous les inconvénients reliés à la démolition.
Les inconvénients de la démolition sont bien nombreux et connus:
L’assèchement sans démolition vient pour pallier à toutes ces problématiques et simplifier la gestion des dommages causés par l’eau. Il représente un avantage indéniable sur tous les aspects, remettant en question toutes les techniques conventionnelles de restauration.
De nos jours, l’assèchement sans démolition de structures intérieures est rendu possible, grâce à une nouvelle technique, simple dans son principe, mais sophistiquée dans son paramétrage. Cette dernière procède par l’injection d’air dans les cavités structurales afin de dégager l’humidité absorbée par les matériaux. Cet air devrait être de qualité, avec un dosage précis et équilibré de chaleur et de déshumidification afin d’optimiser le temps d’assèchement, ce qui garantit une reprise très rapide des activités dans les locaux sinistrés.
L’injection directe est la seule technique qui garantit un assèchement complet et uniforme de structures multicouches et complexes, incluant les matériaux d’isolation, minimisant les coûts de restauration jusqu’à 60% et diminuant le temps du traitement parfois jusqu’à 90%. Également, tous les mouvements d’air sont contrôlés puisqu’ils sont canalisés à l’intérieur des cavités structurales, garantissant un contrôle maximal de la qualité d’air dans les zones de travaux et minimisant la propagation des poussières et des contaminants dans l’air. Cet avantage permet aux gestionnaires de garder les activités dans certains locaux sinistrés. Cela a un impact significatif sur les coûts indirects comme ceux liés à la relocalisation et les pertes d’exploitation.
Chez Assek Technologie, l’injection directe est assurée par SECUR-AIR, un système exclusif et breveté qui a fait ses preuves depuis plusieurs années dans l’assèchement de multiples structures parfois très complexes, tout en évitant la démolition et tous les inconvénients qui en découlent et cités précédemment.